MEDITATIONS
Ø Prédication du dimanche Fête
des mères Lectures
bibliques : 1ere lect : Prov. 31 :10-18 2eme lect : 1Pierre 3 :1-6 Ø Pentecôte |
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En ce dimanche jour de fête, jour de
sabbat, qu’une grande paix vous soit accordée de la part de l’Eternel notre
Dieu. Bonne fête à toutes nos mamans. Bonne fête à celle qui est la première
des mamans, à notre Sainte vierge Marie, Que la grâce du Seigneur surabonde
encore sur elle. Bonne fête à la maman Sarah, l’une des plus
anciennes de nos mamans, elle est un exemple de maman vers qui nous devons
regarder, elle avait été fidèle jusqu’à la vieillesse malgré qu’elle n’avait
pas pu donner d’enfant à son mari. Elle avait gardé la crainte de Dieu. Bonne
fête aussi à la plus ancienne de nos mamans, sainte Eva, mère de l’humanité,
celle par qui la mort a pénétré l’humanité ainsi que le péché. C’est pour
cela qu’aujourd’hui Dieu parle aux femmes dans ces deux lectures pour
rappeler quel est le rôle de la femme au regard des projets de Dieu, ce que
nous vivons aujourd’hui depuis que notre destin a rencontré le chemin du
serpent. Dieu a fait de l’homme chef de la femme,
c’est de l’homme que la femme a été tirée pour lui tenir compagnie. L’homme doit obéissance à Dieu.
La désobéissance de l’homme a commencé lorsque le péché est intervenu par le
serpent, Dieu a maudit la terre et la femme sera sauvée en devenant
mère. C’est pour cela que nous avons
des mamans, qui aussi ont des mamans. Nos papas aussi ont des mamans ; nous sommes tous heureux en ce jour de
fête. Nous sommes sauvés parce que nos mères ont enfanté. Celle qui n’ont pas
encore enfanté ne doivent pas désespérer, prenez pour exemple Sarah. Le salut
réside aussi dans l’appel que chacun a reçu de la part de Dieu. En œuvrant
pour Dieu on accède au salut réservé à ceux qui ont la crainte de son nom et
qui font sa volonté. En ce jour j’ai une forte pensée pour les
mamans qui ont œuvré avec nos grands devanciers, les pionniers de l’église,
depuis celles qui ont œuvré avec le Révérend Pasteur Fondateur SBJ Oschoffa, surtout la première des mamans Oschoffa. Un homme, n’est pas un véritable homme si ce
n’est à cause de la femme qui est à côté de lui. Je salue de même toutes les
femmes des grands devanciers, les femmes des chargés de paroisse, notre maman
de paroisse, Catherine Guicheron. Que Dieu les
bénisse. Que Dieu bénisse aussi ma chère mère, celle
qui m’a mise au monde, c’est aussi grâce elle que je vous adresse ces paroles
en ce jour. Elle qui est toujours restée fidèle à son mari, mon père lequel
n’a pas marié une autre femme dans un milieu très polygame. Ce sont des gens
très croyants qui ont gardé la crainte de Dieu. Le Seigneur les a bénit de plusieurs enfants et petits
enfants. Que l’Eternel en soit glorifié. Je prie aussi pour vos
parents ; en ce jour que
l’Eternel bénisse tous nos parents. Que quelqu’un nous prenne dans le livre
de Proverbes 14 les deux premiers
versets : La femme vertueuseQue nous
dit le livre de proverbe 14 : 1-2 ? « ¶
La femme sage bâtit sa maison,
et la femme insensée la renverse de ses propres mains. Celui qui marche dans la droiture craint
l’Eternel, mais celui qui prend des voies tortueuses le méprise. » Aujourd’hui
on nous parle de la femme vertueuse.
C’est qui exactement ? C’est cette femme-là qui a donné des instructions
à son fils, le Roi Lemouel, lequel nous a écrit ce
Proverbe ch.31 que nous lisons aujourd’hui. C’est vrai que le livre de
Proverbes a été écrit en majorité par le roi Salomon, mais il y a des chapitres
qui n’ont pas été écrits par lui comme celui-ci. Le rôle
des mères c’est encore d’apporter un enseignement à leurs enfants, comme
elles aussi ont reçu de leurs mères. Moi j’ai beaucoup reçu de ma mère qui a
reçu aussi de la sienne par voie orale. L’enseignement se faisait par des
contes et des conseils. Les contes qu’on nous racontait étaient riches
d’enseignements, cela faisait tantôt peur et tantôt on versa des larmes, mais
à la fin on gardait l’enseignement. Mon père aussi avait sa façon de nous enseigner.
J’ai eu en plus la chance d’attraper le nouveau testament étant très jeune. Que nous
dit le Roi Salomon dans Prov.6 :20 ? « Mon fils, garde les préceptes de ton père
et ne rejette pas l’enseignement de ta mère Attache-les constamment sur ton cœur, noue-les
à ton cou. Ils
te conduiront quand tu marcheras, ils te garderont quand tu te coucheras, ils
te parleront quand tu te réveilleras. Car
les préceptes sont une lampe, l’enseignement, une lumière, et les
avertissements de l’instruction, le chemin de la vie :. » L’avertissement
de la correction peut-être le châtiment de Dieu. Quand Dieu punit c’est pour
nous conduire sur le bon chemin. Jésus-Christ est le chemin, la vérité et la
vie. On dit souvent « Qui aime bien châtie bien». Dans ce passage,
il y a ces trois éléments qui sont indispensables dans la vie de l’enfant au
sein de la famille : l’enseignement de la mère, les préceptes du père et
le châtiment de la correction. Si les parents ne châtient pas leur enfant, ce
sera peut-être la police et les juges. Qu’il n’en soit pas ainsi pour nos
enfants. Que nos
mamans prennent à cœur de bien éduquer leurs enfants afin qu’ils soient
demain des hommes et des femmes accomplis. La femme insenséeOn nous
parle aussi de la femme insensée.
C’est qui la femme insensée, sinon cet enfant hier qui n’a pas reçu
l’enseignement de sa mère et de son père ou qui a été rebelle à ses
parents ? lesquels ont été débordés ? Devenue femme, elle devient
un problème pour la société. Elle peut être par exemple la cause de mariages
qui échouent, de couples qui se séparent, adonnée à l’adultère, à
l’impudicité, toutes ces choses que la Bible rejette. Chères
mamans jouez vos rôles avec force et rigueur. Les enfants peuvent devenir
grands et costauds, mais vous devez avoir la douceur de la sagesse et
l’intelligence qu’il faut pour les discipliner. Il faut
que les enfants obéissent à leurs parents. La crainte de DieuOn
remarque aujourd’hui une autre
catégorie de mères : des hommes sont mères.
Ont-ils été à la maternité ? Ont-ils souffert neuf mois de
grossesse ? Ont-ils été tirés des côtes d’un autre homme ? Quand
l’homme détruit la création, il en tire les conséquences. Tout le mal que
nous vivons aujourd’hui vient de la désobéissance. Ce n’est pas forcément que
les parents du travesti sont ceux qui ont péché ; cela peut venir depuis
d’autres générations. Dieu a dit que sa colère peut frapper jusqu’à la
cinquième génération. Dans la Bible c’est écrit qu’on ne dira pas de ceux qui
suivent la voie de Dieu que les parents ont mangé des raisins et les dents
des enfants en ont été agacées. Lisez
Proverbes 31 : 10-12 : « Qui peut trouver une femme vertueuse,
elle a bien plus de valeur que les perles.. Le
cœur de son mari a confiance en elle, elle lui fait du bien et non du mal
tous les jours de sa vie..» La femme
vertueuse a la crainte de Dieu, et c’est là le commencement de la sagesse.
Elle fait du bien à son mari, mais en réalité c’est à elle-même qu’elle le
fait. C’est son image qui se voit à travers son mari. Ils sont tous deux
moitié l’un de l’autre. C’est pour cela que le mariage est très important. Je
profite pour saluer le premier couple que nous avons marié sur cette paroisse.
Que Dieu les bénisse. Ils sont courageux.. Le
mariage est un sacrement de Dieu. Je
conseille aux jeunes gens et aux jeunes filles aussi de se marier. La
première femme que j’ai connue, je l’ai mariée. Que l’impudicité ne soit pas
au milieu de nous. C’est à travers de telles choses que le monde nous juge,
disant quel type d’assemblée sommes-nous ? Est-ce que notre assemblée marche
dans la crainte de Dieu ? Le rôle
des mamans aujourd’hui c’est aussi de parler aux jeunes gens et aux jeunes
filles et de prier pour les couples, surtout ceux qui se sont formés au
milieu de nous. Que les mamans soient elles-mêmes des modèles afin que leur
enseignement soit reçu dans un cœur apaisé. C’est
triste de dire qu’il y a parfois des disputes au milieu des mamans... Quel exemple pour nos jeunes ?
Aujourd’hui, jour de la fête des mères, faites la paix et travaillez
ensemble. Oui j’ai été d’autant plus attristé que certains grands devanciers
qui sont venus pour réconcilier les uns et les autres n’ont pas réussi.
Soyons humbles. Sinon, quels types de croyants sommes-nous ? Ecoutons
les conseils. Lisons la Bible, pensez à la sainte croix, aux martyrs qui ont
tout accepté jusqu’à la mort. S’il y a d’autres sujets de disputes,
allons, en ce jour laissons l’esprit
saint de Dieu prendre place. La soumissionLisez
Ephésiens 5 :22-26 « Soumettez-vous les uns aux autres dans la
crainte du Christ ; ainsi les femmes à leur mari, comme au
Seigneur ; car l’homme est la tête de la femme, comme
le Christ est la tête de l’Eglise, qui est son corps et dont il est le
Sauveur ; en tout cas, comme l’Eglise se soumet au
Christ, qu’ainsi les femmes se soumettent en tout à leur mari. Maris, aimez votre femme comme le Christ a
aimé l’Eglise : il s’est livré lui-même pour elle, afin de la consacrer en la purifiant par le
bain d’eau et la Parole, » La
soumission dont nous parle la Bible ne veut pas dire domination ou que la
femme doit subir la violence de l’homme. Non.. Mais
il s’agit de respect, convivialité, d’entente mutuelle. La femme connaît sa
place et son rôle dans le foyer. Avec
la femme «libérée» c’est tout le contraire. Le couple ne dure pas et prend
progressivement le chemin de la séparation. La parole de Dieu est pure,
murie, éprouvée, elle a une expérience de vie, quand on la met en pratique
cela marche, sinon c’est l’échec, le
couple ne dure pas. L’homme
doit aimer sincèrement sa femme et ne pas chercher à la dominer. La femme
doit soumission à l’homme et l’un ne doit pas priver son corps à l’autre. Ils
doivent s’entendre mutuellement pour se vaquer à la prière. La soumission dont on parle c’est
comme l’homme doit obéissance à Dieu.
Christ compare l’église comme son épouse. Christ est le chef de l’Eglise
comme l’homme est le chef de la femme.
Si nous marchons dans cette harmonie beaucoup de foyers vont subsister. Méfiez-vous de ce qu’on
voit dans les médias et de la femme libérée. L’épouse
doit être d’abord femme, elle fait tout pour toujours plaire à son homme.
Elle ne doit pas se négliger maintenant qu’elle est mariée. L’homme aussi doit en faire autant. C’est
la convivialité, l’un et l’autre se respecte. L’homme doit aimer sa femme et
faire en sorte que l’amour demeure au sein du couple. Les tâches sont
partagées, mais en tant chef de famille l’homme doit subvenir aux besoins de
sa famille. Certaines femmes qui ont de meilleurs revenus portent des
« pantalons» et dominent sur l’homme ou elles disent : c’est
« ton pied mon pied ». La femme
insensée agit aussi de la sorte.
Approchons-nous de nos mères, grand-mères, et belles-mères pour
recevoir l’enseignement. La beautéLisez
1Tim.2 : 8-12 « Je souhaite donc que les hommes prient en
tout lieu, en élevant des mains saintes, sans colère ni discussions. De même aussi, que les femmes, vêtues d’une
manière décente, avec pudeur et discrétion, se parent, non pas de tresses,
d’or, de perles ou de toilettes somptueuses, mais d’œuvres bonnes, comme il convient à
des femmes qui se prétendent pieuses. Que la femme s’instruise en silence, avec
une entière soumission. Je ne permets pas à la femme d’enseigner,
ni de dominer l’homme ; qu’elle demeure dans le silence. En effet, Adam a été façonné le premier,
Eve ensuite ; et ce n’est pas Adam qui a été trompé,
c’est la femme qui, trompée, s’est rendue coupable de transgression. Elle sera néanmoins sauvée en devenant
mère, si elle demeure dans la foi, l’amour et la consécration, avec pondération., .. » La beauté
qui plaise à Dieu c’est la beauté intérieure, celle qui vient du cœur. C’est le bon caractère. Une femme qui n’a
pas un bon caractère même son mariage ne va pas durer. La femme vertueuse est douce, apaisée, tranquille. C’est dans la tranquillité qu’elle
reçoit la force. Une femme qui n’est pas apaisée est une femme faible. Elle a
beau avoir un « sacré caractère » mais elle est faible, peu sûre
spirituellement. Une femme douce et apaisée a une vraie force. Voici un
exemple. Lisez Apoc. 12 : 1-5 « Un grand signe apparut dans le
ciel : une femme vêtue du soleil, qui avait la lune sous ses pieds et
une couronne de douze étoiles sur sa tête. Elle était enceinte et elle criait dans les
douleurs et les tourments de l’accouchement. Un autre signe apparut dans le ciel :
un grand dragon rouge feu qui avait sept têtes et dix cornes, et sur ses
têtes sept diadèmes. Sa queue entraînait le tiers des étoiles du
ciel ; il les jeta sur la terre. Le dragon se posta devant la femme qui
allait accoucher, pour dévorer son enfant dès qu’elle accoucherait. Elle mit au monde un fils, un mâle, qui va
faire paître toutes les nations avec un sceptre de fer. Son enfant fut enlevé
auprès de Dieu et de son trône... » Malgré la
menace du dragon elle enfanta un fils qui doit paître les nations avec une
verge de fer. Vous
pouvez relire le cantique de la Sainte Vierge Marie et comprenez qui est
cette femme forte. C’est un
exemple de femme soumise, obéissante vers qui nous devons regarder.. La fidélitéSainte
Marie nous connaît tous et nous aime. Elle souffre quand il y a des divorces
ou les séparations. Elle prie pour nous, elle nous console, pour ceux qui recherchent Dieu avec
sincérité. Ayez la
crainte de Dieu ; évitez la débauche, la fornication. Aux femmes
divorcées ou séparées : soyez
comme la prophétesse Anne dans Luc 2 :36 : « Il y avait aussi une prophétesse, Anne,
fille de Phanuel, de la tribu d’Aser. Elle était
très avancée en âge. Après avoir vécu sept ans avec son mari depuis sa
virginité, elle
était restée veuve ; âgée de quatre-vingt-quatre ans, elle ne
s’éloignait pas du temple et prenait part au culte, nuit et jour, par des
jeûnes et des prières. Elle aussi survint à ce moment même ;
elle louait Dieu et parlait de l’enfant à tous ceux qui attendaient la
rédemption de Jérusalem... » Dans le
livre de 1Corinthiens7, Saint-Paul conseille aux veuves et aux femmes seules
de rester sans se marier. De même il demande aux jeunes de rester vierges
pour ceux qui ne sont pas encore mariés. C’est mieux de rester ainsi et
servir Dieu. Mais pour ceux ou celles qui brûlent de désir il vaut mieux se
marier que de brûler. Le mariage a ses souffrances mais aussi ses joies et
ses bonheurs ; lisez Psaume 127 :3
et Psaume 128 : 1-3 mais il y
a des concessions à faire et il faut avoir la crainte de Dieu. Je
m’inquiète pour certaines femmes, pas que dans l’église, qui pourtant d’un certain âge continuent à
changer de partenaires, certaines rivalisent même avec leurs filles ou fils.
Il y a aussi des hommes qui font de même. C’est honteux. Dans les églises, on
trouve peu de personnes qui veulent se consacrer même parmi ceux d’âges
avancés. Aimons
nous les uns les autres au sein des couples et faisons en sorte d’éviter les
divorces, les séparations. Un homme croyant ou une femme croyante peut gagner
son conjoint non-croyant par son bon
comportement. C’est une bénédiction pour sa famille. Mais si malgré tout au
contraire ils arrivent à vouloir se séparer, pour la paix, il faut se
séparer. On parle de cas extrêmes. C’est surtout pour ceux-là qu’il est
demandé de rester sans se marier et servir Dieu ; mais s’ils brûlent et
ne peuvent rester seuls qu’ils se marient. Au sujet
du mariage, le Seigneur Jésus-Christ a répondu que le divorce était interdit,
sauf en cas d’infidélité. Servez Dieu Le rôle de
la femme est très important. Elle doit jouer son rôle de mère, de femme et
aussi de servante, elle doit être une bonne chrétienne c’est ce que nous dit
la seconde lecture. Le Seigneur Jésus-Christ dans Mathieu 11 :29 nous
dit ceci : « Prenez mon joug sur vous et recevez
mes instructions car je suis doux et humble de cœur et vous trouverez du
repos pour vos âmes. » Que la
douceur qui est en Christ soit notre partage. Que nous ayons des caractères
doux et apaisés. Prions
pour nos mamans et nos jeunes filles. Pour conclure lisez Proverbes 31 à
partir de v23, qui nous rappelle qu’un
grand homme n’est pas ce qu’il est sans une femme vertueuse à ses cotés. Que Dieu
vous bénisse. Par Sup/W J. L. DEGNIDE 25/05/2014
– Paris ECC -
Paroisse Sainte Victoire © J.L. Dègnidé Publications |
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PENTECOTE
Méditation
postée sur le forum Le 06 Juin 2014 à 12:46 GMT+1, Dohato
a écrit
Bien
aimés en notre Seigneur Jésus Christ, que la grâce du Père Céleste vous soit
accordée en abondance Amen. Dieu
est le père de la terre et de ce qu'elle renferme, du monde et de ceux qui l'habitent(PS 24 v 1).Il ne fait acception de personne. La
Bible déclare dans Luc 11 v 13 que méchants que nous sommes, nous savons
donner de bonnes choses à nos enfants et comment Le père Céleste ne donnera
t-il pas Le Saint Esprit aux siens? Ainsi donc, tous les enfants de Dieu ont
le droit de recevoir le Saint esprit en partage. Mais est - ce tous les enfants de Dieu qui peuvent recevoir ce
don d’Esprit? Dieu n'a t-il peut- être pas exigé de ses enfants des
conditions pour recevoir de son Esprit? C’est ce qui fera l'objet de notre
réflexion dans les prochains jours. Que les
bénédictions célestes pleuvent sur tout un chacun de vous au nom Du Dieu de
SBJ OSHOFA Amen. |
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Dohato,
le 12 Juin à 09:39 a écrit : Halléluia! |
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