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Sainte Vierge
Marie
Sommaire LA VIERGE MARIE ET L'EGLISE DU
CHRISTIANISME CÉLESTE JESUS ! LA SEMENCE DU CIEL DANS
L'HUMAIN DOMINATION DE L'ESPRIT SUR LA
CREATION Un peu partout dans le monde,
des cantiques de louange célèbrent et saluent la Sainte Vierge Marie
comme «Mère de Dieu» - le crédo récité a chaque culte dans nos Eglises, honore son enfant, notre
Seigneur Jésus-Christ comme «Fils unique de Dieu». Ces deux dénominations nourrissent encore malheureusement, incompréhension et
discorde. Même les positions théologiques des trois religions monothéistes
- (Judaisme, Christianisme et Islam) sont
encore loin de se rapprocher sur ces formulations, qui, en réalité, fluctuent
selon le fondement de notre édification devant des réalités, certes humaines,
mais nouvelles en esprit que seul le Père de toute la Création a voulues et décidées. Si la confusion n'est toujours pas levée, le Saint-Esprit (par la bouche
de I'Apôtre Paul) nous a déjà ouvert les yeux. Dans l’Epître aux Colossiens
Chapitre 1: 15-18, il nous rappelle que: «Le Fils est I
'image de Dieu, invisible, le premier-né, de toute la création. Car en lui a
été créé toutes choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les
invisibles et visibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a
été créé par lui et pour lui. II est la tête du corps de I'Eglise; il est le
commencement, le premier né
d'entre les morts afin d'être en tout le premier. » En pesant
chaque mot de cette lecture, que peut-il avoir de scandaleux ou
de blasphématoire, toute métaphore mise à part, à parler de la Vierge
Marie comme «mère de Dieu» ? Seulement,
reconnaissons-le, le voile persiste encore dans nos cœurs et notre
intelligence. Car, comment Dieu qui est incréé, peut-il avoir une mère ? (s'insurgent des hommes de foi peu enclins
à comprendre). Même ceux de
nos frères (musulmans) qui, eux, reconnaissent
inconditionnellement en Jésus de Nazareth un grand prophète de «Allah-» hors du commun sous le nom de
«NABI YISSA», et honorent par
ailleurs la Sainte Vierge Marie, il n'est pas question pour eux, sous peine
de blasphème, de lui reconnaître le titre de «mère de Dieu». Nos
formulations seraient -elles erronées ? Le
Saint-Esprit aurait-il menti ? Quelle est la position du Christianisme
Céleste sur ces questions ? LA VIERGE MARIE ET L'EGLISE
DU CHRISTIANISME CÉLESTE
Afin d'amortir le choc psychologique causé par l'intérêt ainsi que la profondeur spirituelle des questions soulevées, la seule réponse que nous avons pu avoir dans un des écrits d'une de nos paroisses de France, sont une «redite» - (cf. prières et exhortations, p. 18, Paroisse de Champigny) : «La Vierge Marie ne serait-elle pas simplement un instrument de Dieu ?» Qui peut soutenir le contraire d'une question aussi évidente ? Seulement attention ! Serait-ce là concrètement une manière d'aider celui qui veut comprendre les choses de Dieu à mieux vivre le mystère de la foi ? (Ephesiens 2:8-10). Une autre chose peut difficilement être contestée; c'est le peu de cas (ou de place) qui est faite, actuellement, à la Sainte Vierge, dans la liturgie de l'Eglise du Christianisme Céleste. Pourtant
nous savons que depuis 1977, le feu Pasteur OSCHOFFA avait ordonné qu'un
culte spécial soit adressé à la Vierge Marie tous les 1er Vendredi
de juillet dans l'Eglise. Autrement dit, à une période approximative d'un
mois de l'Assomption (15 Août),
autre jour de célébration de la Vierge Marie dans le monde, depuis la
décision d'un Pape en 1954. Ce qu'on ne sait toujours pas dans l'E.C.C., c'est
si l'ordonnance d'OSCHOFFA se limite exclusivement à cette date ou,
compte tenu des circonstances qui l'ont amené à prendre cette décision, il
s'agissait au contraire d'une invitation de la congrégation à constamment
invoquer la Sainte Vierge Marie dans toutes nos prières à chacun de nos
cultes ? Le flou institutionnel est encore de mise. II faut toutefois se rendre
à l'évidence. Un lien irréductible et indissociable à notre
compréhension, unit bien dans le mystère qui nous a été révélé, la Sainte
Vierge Marie à Jésus-Christ. Le rapprochement de la vision de
l'Apôtre Jean dans l’Apocalypse avec celle que le feu Pasteur OSCHOFFA
lui-même avait eu, nous éclaire encore davantage sur la profondeur jusque-là insoupçonnée de
tout ce qui a rapport et se fait dans l'E.C.C. En effet, si le Christ ressuscité, avait tenu à révéler à son disciple bien aimé et «frère», le mystère de
sa propre conception, c'était pour
lui attester sa nature divine et par la même occasion, celle de son
Père qui est dans les cieux; - "Pure, Sainte, sans ombre ni souillure". Son Père et lui-même,
(devrions-nous dire, si nous nous
souvenons de cette interpellation : «Femme,
qu'y a t-il entre toi et moi ?»), semblent avoir choisi la Sainte Vierge dont
le corps n'était pas encore souillé pour servir de réceptacle à la semence du ciel par le Saint-Esprit ansi: «...une femme enveloppée de soleil, la lune sous ses
pieds et une couronne de douze étoiles sur sa tête.... était
enceinte...» (Apoc.12:1-2). Le Prophète
Pasteur OSCHOFFA, lui par contre, avait dans sa vision du 15 juillet
1977, vu : « une belle femme
blanche couverte de la tête aux pieds, d'un vêtement bleu et positionnée
comme si elle protégeait quelque chose... (Puis), elle se souleva pour
montrer que ce
qu'elle protégeait était un bébé portant une couronne. Et, elle dit en
montrant l'enfant du doigt : «Voici Jesus-Christ, son âme est
sainte, son esprit est saint. II est la vie éternelle.» (cf. le jour de la Vierge
n°99-G de la Constitution- Nigéria). OSCHOFFA,
indéniablement, a eu la confirmation de la révélation précitée de l'Apôtre
Jean. Plus encore, son prolongement. Car, si ce qui avait été porté à la
connaissance de l'Apôtre se limitait au mystère de la conception du Seigneur,
OSCHOFFA lui, a eu la grâce de l'Enfant dans toute sa gloire après sa
naissance. En discernant un peu, cet enfant avec sa couronne ne
pouvait être, en esprit, que le Seigneur
Jésus-Christ. En d'autres
termes, l'Eglise sans tache ni ride à ses débuts que la Sainte Vierge
présente à nouveau au Pasteur
OSCHOFFA, vingt ans après l'avènement de l'Eglise du Christianisme
Céleste. C'est donc
la confirmation que tout bon chrétien céleste doit nécessairement voir
(prophètes et visionnaires), comprendre
et vivre (Leaders et fidèles)
dans la Lumière et la vérité de Dieu. Tout, dans la Sainte Eglise
venue des cieux a donc besoin de gagner en clarté et en sainteté. A cause de
la nature véritable du Christ,
le syncrétisme n'a pas de place dans l'E.C.C. L'introduction des
choses du monde, même celles qu'on considère souvent comme « bonnes» ne
peuvent être qu'abominables. (Jer. 7,4-7). JESUS ! LA SEMENCE DU CIEL
DANS L'HUMAIN
Jésus-Christ, est Dieu lui-même qui s'est fait chair (Jean 1:1-3). C'est la raison pour
laquelle la Sainte Ecriture, selon la prophétie de Esaïe dit, à la suite de
l'Evangile de Jean 1:1-3 : « Lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son
Fils, né d'une femme, né sous la loi, afm que nous
recevions I 'adoption (Gal. 4:4-5). Ici encore,
comment serait-il
possible d'accepter spirituellement
la double nature du Seigneur Jésus-Christ tout en continuant par des
spéculations et des raisonnements intellectuels à refuser à la Sainte Vierge
Marie de porter le titre de «mère de Dieu» ? Il est vrai
qu'à aucun moment, nous n'avons entendu Jésus prétendre être Dieu à la place
du Père. Tout au contraire. Il nous a toujours parlé de son Père (Jean 14:1-4). Le Seigneur, ne fait
pas non plus partie, nous le savons «des
deux témoins, qui, continuellement se
tiennent devant le Seigneur de toute la terre» (Apoc.
11-4). Enfin, on ne saurait
le réduire au rang d'un prophète, même hors du commun. Puisque, lui-même
dit: «parmi ceux qui sont nés de femmes, il n 'en a point paru de plus grand que Jean-Baptiste... Car
tous les prophètes et la loi ont prophétisé jusqu'à Jean... » (Matt. 11:11 et 13). Mais ce qu'il n'a cessé de dire à tous ceux qui ne voulaient pas croire à ce qu'il est en vérité : «Vous êtes d'en bas, moi je suis d’en haut. Vous êtes de ce monde, moi je ne suis pas de ce monde». (Jean 8,2-3). Jésus a tout de même proclamé tout le temps, sa «consubstantialité» avec son Père.
C'est aussi cette vérité de la
Sainte Ecriture que la Sainte Vierge Marie, "mère de l'Eglise", a tenue à révéler en personne à OSCHOFFA. Son Fils n'est pas de l'ancienne race
d'homme adamique; mais le premier-né des enfants de Dieu, c'est à dire des
enfants d'esprit dont la nouveauté est que
tous, «reçoivent leur
semence du ciel; semence qui germe et croit (en eux) sans
qu'ils sachent comment» (Marc 4,27) et (Jean 1:1-3) - Grâce à
Christ et à sa mère, ce ne sont plus les liens de chair et de sang qui
prévalent et dominent mais les liens d'esprit. Et
sans le vouloir, la Sainte Vierge Marie est devenue la mère
d'une nouvelle humanité. DOMINATION DE L'ESPRIT SUR
LA CREATION
Jérémie, le prophète, lançait
déjà : «Maudit soit I'homme
qui se confie dans I'homme; qui prend la chair pour
appui et qui détourne son cœur de I 'Eternel ? II est comme un misérable dans
le désert et il ne voit point
arriver le bonheur»(17:15-16) Pour bien
comprendre de quoi il nous parle, il faut se souvenir que l'Eternel avait
fini par condamner Israël parce que son peuple «se détruisait par manque de connaissance» (Osée chap. 6). Le
même reproche était fait "aux pharisiens par le Seigneur Jésus-Christ.
Car ils avaient pour habitude «de ne
juger toute chose que selon la chair» (Jean 8,15). Les
choses de l'Esprit nous sont aujourd'hui accessibles parce que nous sommes
enfants de Dieu. Pourquoi alors contester (et qui peut contester) à la Sainte
Vierge Marie d'avoir été choisie pour
recevoir une grâce exceptionnelle dans son corps de
femme ? Comme tous les élus de Dieu, elle et Elisabeth n'avaient-elles pas
joui de la plénitude de la force du Saint-Esprit ? Comme bien d'autres
serviteurs de Dieu, n'en étaient-elles pas remplies ? La gloire
inaltérable accordée par le Très-Haut à la
Sainte Vierge Marie comme «mère du Fils de Dieu» ne souffre d'aucun
doute. Les paroles d'Elisabeth soient
encore à nos oreilles : «Tu es bénie entre toutes les femmes et le fruit de tes entrailles est
béni...Heureuse celle qui a cru parce que les choses qui lui ont été dites de
la part du Seigneur auront leur accomplissement» (Luc 1:43 et 45). II n'y a aucun blasphème à appeler la Sainte Vierge Marie mère de Dieu. Ce qui du reste signifie simplement «la mère» que Dieu lui-même
s'est choisie. Nous en sommes convaincus à l'image de la
séparation de la relation de chair qui s'était opérée entre Marie et le
Christ sur la croix, lors de son agonie. Jésus, se faisant substituer en
chair par Jean, son disciple bien-aimé n'avait -il
pas dit : "Femme, voilà ton fils. Puis au disciple :
Voila ta mère..." ? (Jean
19,27). De la sorte, le Seigneur ne retrouvait-il pas là
sa véritable nature divine ? Celle qu'il avait révélée à ses disciples
maintes fois en ces termes : «Je suis sorti
du Père et je suis venu dans ce monde, maintenant je quitte le monde et je
vais au Père» (Jean
16,28). Le Pasteur OSCHOFFA et l'Eglise qui lui a été confiée sont désormais convaincus de la véracité de ce mystère qui nous a été révélé par l'Eternel. Que son nom soit exalté de génération en génération. Que la Sainte Vierge Marie, la
mère du Fils unique de Dieu et de l'Eglise, soit bénie. Qu'elle intercède
constamment pour la Sainte Eglise venue des cieux, afin que la Lumière que
nous avons reçue ne se ternisse jamais. Qu'elle prie également et demande à
son Fils que les nouveaux fossoyeurs de son Eglise soient aussi balayés comme
au temps d'Hérode, afin que la Paix et
la joie accompagnent le renouveau du Christianisme Céleste.
AMEN. Devancier Claude D'ALMEIDA (archive 2001) LA SAINTE MARIE et la FRANCE
La France fut la terre d'élection de Marie. La dernière partie de l'Ave Maria aurait été révélée à Paris en 1198. L'Angélus est né en France, le Salve Regina a été composé par Adhemar de Monteil, le Rosaire propagé par Saint Dominique. Le roi Louis XIII a donné à son royaume la Vierge Marie comme patronne, en la consacrant solennellement le 15 août 1638 avec la valeur de loi constitutionnelle... Et on note aujourd'hui une permanence de la ferveur mariale chez les Français. Le Webmaster <<>> Vous aussi envoyez vos articles . Ecrivez-nous.
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