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MEDITATIONS
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La multiplication des Pasteurs
Index :
1)
La
multiplication des Pasteurs : 2)
ADDENDA : La multiplication des
Pasteurs :
un miracle
ou une calamité ?
Aujourd’hui que le Pasteur
Emmanuel OSCHOFFA est intronisé et a prononcé un discours sur le programme de
son Pastorat, et que de son côté le Pasteur AGBAOSSI vient de faire connaître
ses nominations aux postes dirigeants de l’Eglise du Christianisme Céleste,
nous nous trouvons plongés dans la plus grande confusion. Chacun de son côté
feint d’ignorer l’existence de l’autre, laissant au fidèle de base le soin de
faire son choix entre deux églises co-existantes
que chaque Pasteur va mettre beaucoup de zèle à diriger, chacun de son côté. Dans son discours, le Pasteur
Emmanuel OSCHOFFA a-t-il condamné l’attitude des autres Pasteurs, et en
particulier celle du Pasteur AGBAOSSI comme non régulièrement nommé selon lui
à ce poste ? Rien du tout ! Dans sa Décision Pastorale, le Pasteur AGBAOSSI
exprime-t-il sa désapprobation devant l’intronisation non valable à ses yeux
du Pasteur OSCHOFFA ? Rien du tout ! Pour l’un comme pour l’autre,
seule son église est valable, seule son église a le droit d’exister, seule
son église existe. Si l’on fait abstraction des quatre « petits
pasteurs » dont on a cessé de parler aussi vite qu’ils s’étaient
révélés, et si l’on ignore le Pasteur JESSE étrangement silencieux durant
tous ces derniers mois, (en tous cas vu de la France), les deux Pasteurs
« en compétition » ne voient plus qu’une moitié du monde des
Célestes. Déjà en septembre 1996, alors
que Papa BADA était en place, (il est devenu Pasteur en septembre 1985), le
Régent Benoît AGBAOSSI devient Pasteur
à son tour. Et nous innocents de français
qui pensions que la co-existence
faisait partie de notre seul patrimoine politique, au nom de l’exception
culturelle ! Plus fort encore, en 1996, J.K.
OWODUNNI crée en 1996 la branche des Oschoffistes,
qui pour eux est bien entendu la seule vraie Eglise du Christianisme Céleste,
et en 1999, il en devient le Pasteur… Et il attaque le Pasteur BADA en
justice pour anticonstitutionnalité ! En janvier 2001, après le décès
du Pasteur BADA, le Pasteur AJOSE est intronisé comme successeur, sans plus
se soucier du Pasteur AGBAOSSI, toujours Pasteur en parallèle, et ni du
Pasteur OWODUNNI, Pasteur des Oschoffistes ! En Février 2002, le Pasteur
AJOSE décède. En juillet 2002,
rencontre au sommet à Cotonou entre les diverses tendances de l’Eglise pour la
réconciliation et l’unité. Le Pasteur B. AGBAOSSI est reconnu comme chef
mondial de l’E.C.C. Enfin, pas tout à
fait, seulement si l’on ne tient pas compte des Oschoffistes,
qui semblent ne pas avoir été invités à la grande réconciliation. Le Pasteur AGBAOSSI, enfin sans
concurrent, en profite-t-il pour
organiser l’unification de l’église ? Rien du tout. Il voyage, en
particulier en Europe, où « partout il a reçu un accueil triomphal,
parfois pris pour le "NEGUS", titre éthiopien qui signifie
"Roi" ». Paul
GONÇALVES, la cheville ouvrière de cette « réconciliation » déclare
avec emphase : « fini les querelles, fini les divisions, fini
les rancœurs. L'unité est un pas ; Dieu nous aidera pour le reste. Il faut
harmoniser les pratiques, la liturgie, les vêtements sacerdotaux ». Et
cette dernière phrase, reconnaissons-le, est l’aveu que la division ne repose
pas que sur le nom du Pasteur, mais que des systèmes complètement différents
ont été mis en place dans chacun des camps ! D’ailleurs, le proche futur le
désavoue totalement comme prophète, puisque quasiment coup sur coup, c’est
Catastrophe! Plus d’unité !! Tout est à refaire !!! On arrive même jusqu’à 7 Pasteurs en même
temps … Croyez-vous que cela puisse
entamer d’un iota la sérénité de tous nos Pasteurs ? Rien du tout !
Chacun, imperturbablement, continue dans sa logique comme s’il était seul au
monde. Et dans la dignité ! , car il ne convient pas de jeter le
discrédit sur un autre dignitaire de l’Eglise, mais donc aussi dans
l’inaction … Qu’attendent-ils ??? que tous les autres se désistent
devant eux, seul Pasteur oint de Dieu ? Nul ne saurait le dire. Et la
situation risque de durer fort longtemps comme cela. Alors je propose que nous les
réunissions et que nous leur amenions un malade, un paralytique, voire même un
moribond, et qu’on demande à chacun de faire le miracle qui le désignera sans
conteste vrai Pasteur désigné par l’Eternel pour guider notre Barque. On fait bien
des tests pour les Woly. Pourquoi ne pas tester les
Pasteurs ? Est-ce que Jésus s’est dérobé devant l’épreuve ? Non, il
a assumé, il a fait jaillir devant toutes les foules ébahies des signes
évidents, irréfutables, et en même temps enthousiasmants de la puissance
divine que son Père avait mis en Lui pour le désigner et le révéler aux plus
incroyants de ses contemporains. Et si l’un de nos Pasteurs
souhaite prendre les devants par une action d’éclat qui époustouflera,
ébahira, retournera jusqu’aux plus sceptiques, alors je serai le premier à
venir m’agenouiller devant lui, et avec joie. Malheureusement, je crains que
mon attente reste vaine. Papa OSCHOFFA, lui, avait ressuscité un mort aussitôt
arrivé dans un village après son errance dans la forêt. Mais voilà, n’est pas
Pasteur qui veut !!! Et je crois que le vrai successeur reste encore à
venir… Frère Christian. ADDENDA :
Il est vrai qu’on ne peut soutenir l’un des pasteurs
actuels comme réellement désigné par l’Esprit Saint, selon le testament du
Fondateur ; à cause des divisions qui continuent à régner, et la
multiplication des pasteurs. A mon avis, l’épreuve de miracle ne peut-être suffisant pour départager. Même Satan peut tromper à travers des miracles. Je voudrais néanmoins attirer
votre attention sur cette réaction du même frère Christian, après l’Union
retrouvée du 31 juillet 2002, qui déclarait dans la rubrique
« Réaction » je cite : « En
réaction à la lecture des textes sur le retour à l'unité, je voudrais faire
entendre ces quelques mots : …Bien sûr qu'il est nécessaire en bonne intelligence de
faire la distinction entre le leader charismatique créateur d'un mouvement et
ses successeurs non charismatiques qui ont la lourde charge d'organiser et
administrer les immenses énergies soulevées par l'initiateur. Et qu'il serait
de plus élémentaire hygiène organisationnelle de ne pas attacher au même mot
(Pasteur) des significations différentes : chef charismatique ou responsable. J'ai le plus profond respect pour les différents
Pasteurs qui ont succédé au Fondateur, mais qui peut croire sérieusement que ces
derniers ont hérité avec la charge suprême des "pouvoirs" accordés
par le Saint-Esprit à la seule personne de Papa Oschoffa ? Les catholiques n'attendent plus
depuis longtemps du Pape les pouvoirs que Pierre le premier des Pasteurs
chrétiens manifestait au point de sidérer Simon le magicien. Ils sont
naïfs ceux qui pensent que le miracle de la Pentecôte est reproductible à
volonté, même si la réalité des dons de l'esprit dans notre Eglise est
patente. La charge de Responsable suprême est suffisamment honorable
pour mériter le beau nom de Pasteur. Rassemblons nous donc derrière celui qui
est actuellement à la tête de l'ECC. … » Le combat du Chrétien Céleste aujourd’hui sera donc de
trouver la sagesse, la grâce et l’inspiration nécessaire pour redonner à
l’Eglise du Christianisme Céleste une vraie hiérarchie mondiale qui
s’appuierait à la fois sur le Premier
devancier de l’Eglise (Le Rév. Pasteur Agbaossi) et sur la Constitution (bleue), si elle est
indéniablement la référence administrative désignée par le Fondateur. C’est
aussi régler le problème d’Assistant-Pasteur. Ensuite suivront les différents
travaux d’uniformisation pour pérenniser l’unité. Ayant comme objectif de
préparer le terrain au véritable élu. Quel que soit notre tendance, nous n’avons plus le droit
nous complaire dans la division de l’Eglise. On ne peut non plus faire
semblant d’ignorer le problème. Je comprend l’indignation de mon
Frère Européen, Christian, face à ce « babel
africain » qu’est devenu l’ECC. Que Dieu ait pitié de cette génération … Ev. J.Luc Un
vent d’unité souflera :
Je
crois que depuis le 31 juillet 2002, bien
d'autres vents ont soufflé dans l'ECC et il est à mon sens pas très
confortable de se retourner. Je ne veux pas être une statue de sel.... et
aucun chrétien céleste d'ailleurs. L'Unité
à la tête de l'église est notre estampille certes. Mais sa valorisation passe
par notre condition spirituelle au quotidien et essentiellement au sein de
notre paroisse locale. C'est
une excellence lorsque le "petit" donne exemple
au "grand" non pour le narguer gonflé d'orgueil mais tout
simplement en lui montrant qu'il a retenu la bonne leçon, qu'il a trié et a
su accaparer la bonne part. C'est quoi? -
En s'appuyant sur la Parole et les préceptes authentiques
de
l'ECC seulement.. .
On peut aussi user d'une autre procédure telle que : -
Tout d'abord mâcher et avaler Josué
1-7. Le
noyau à avaler est le mot SEULEMENT qui n'est pas facile de par
sa consistance. C'est ce mot-là qui fait la valeur de ce passage. -
Dans un deuxième temps on se constitue en groupes
(en invitant des frères et sœurs EN CHRIST
pour dévorer les versets 8 et 9. Ainsi
donc chacun verra la gloire de Dieu dans un vent d'unité
qui arrivera, soufflera et s'installera dans chaque paroisse Joachim
© J.L. Dègnidé Publications |
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