Nouveaux Témoignages, reçus 5 sur 5.

 

1 – Mettez Dieu à l’épreuve

J’étais à l’église catholique. Je ne payais pas ma dîme. Mais quand je pouvais, je donnais une participation, environ une fois par an. Cela n’avait rien de régulier. Et je n’arrivais pas à payer la totalité de mes impôts (locaux ou sur le revenu). D’année en année les montants s’accumulaient. C’était pour moi un gros soucis. Je souffrais de ne pas être en règle avec l’administration.

Par la grâce de Dieu, je suis venue à l’Eglise du Christianisme Céleste. Ayant écouté les exhortations, je me suis résolue à payer ma dîme. Dès que j’ai commencé à le faire, j’ai pu constater que mes dettes envers le Trésor Public diminuaient. A la fin de l’année 1992, j’avais tout réglé.

Je remercie Dieu de m’avoir permis de faire face à mes obligations.

Mon vœu, c’est que tous les frères et sœurs en Christ fassent cette expérience. Mettez Dieu à l’épreuve.

 

Sr  Ginette BORRHOMMEE (Région parisienne, en 1993)

 

 

2 – On m’avait alors fait une vision

J’étais dans le désespoir. Je n’avais pas de travail. Je fréquentais les boîtes de nuit et je buvais beaucoup. Mon moral étais bas. Un copain du foyer m’a fait connaître l’Eglise. On m’avait alors fait une vision me révélant les obstacles qui empêchaient mon évolution.

Après avoir effectué les différentes prières, les choses ont beaucoup changé dans ma vie. Je me sens délivré.

Maintenant j’ai un travail. J’ai appris à connaître Dieu et je peux évoluer dans l’œuvre. Je remercie l’Eternel de m’avoir rehaussé.

 

Fr. Franky BERAL (Région parisienne, en 1993)

 

 

3 – Article de presse : indignation

Digue de Fifadji : Dandjinou casse les occupants illégaux

Les habitations et les constructions aménagées de part et d'autre de la digue de Fifadji, ont été cassées hier par les services techniques de la Circonscription urbaine de Cotonou. L'opération destinée à dégager les couloirs d'écoulement des eaux, a engendré de nombreux dégâts et des sans-abris.

Des dizaines de maisons ont été démolies dans le cadre de l'opération menée hier par la Direction des services techniques de la Circonscription urbaine de Cotonou, sous escorte d'agents de sécurité. Les sinistrés ont été informés la veille de l'opération. Les habitations à casser avaient été marquées. Mais certains ne croyaient pas que cet avertissement serait le dernier d'une série qui date depuis des années. Grande a été la surprise des habitants de voir ce mercredi matin, des bulldozers et des ouvriers s'attaquer et démolir les maisons et autres aménagements situés dans les bas-fonds longeant la voie Ste Rita-Fifadji. L'opération a duré toute la journée sous les cris, les pleurs et les malédictions des victimes. Aucune violence n'a été signalée. Le dispositif sécuritaire était dissuasif. En quelques heures, des maisons ont été éventrées, les mûrs et les toitures démolis. Les propriétaires qui étaient sur place ont pu récupérer quelques biens. Les casseurs ont eu quelques difficultés à démolir l'église du christianisme céleste aménagée dans les bas-fonds, à l'est de la digue. Le bulldozer envoyé pour détruire le temple s'est enfoncé dans les bas-fonds. Pendant ce temps, les fidèles priaient Dieu pour sauver le temple. Au même moment, la machine de destruction s'enfonçait davantage dans la boue du marécage. Face à ce "miracle", certains passants et même des casseurs ont commencé à croire en la prière des chrétiens célestes. « Vous voyez, on ne détruit pas impunément un temple de Dieu ! », s'est écriée une dame en signant. Les agents de la Circonscription urbaine ont dû chercher plusieurs camions de sable pour aménager les bas-fonds afin d'accéder à l'église. Jusqu'à 16h, le temple n'a pu être démoli et les fidèles redoublaient d'ardeur dans leurs prières.

L'opération est destinée à détruire les constructions aménagées dans le domaine public que constitue le site. Les divers aménagements faits par les occupants illégaux empêchent l'écoulement normal des eaux et sont en grande partie responsables de l'inondation de la voie en digue et des quartiers riverains. Le domaine avait même été délimité par la Direction de l'assainissement et des voies urbaines comme couloirs d'écoulement des eaux. Le site est situé dans l'emprise du collecteur P dont les travaux de construction ont démarré à Vêdoko. Des panneaux portant l'inscription : "Interdiction de s'installer" ont été plantés sur le domaine par ce service technique du ministère de l'environnement, de l'habitat et de l'urbanisme. « Nous sommes déterminés à aller jusqu'au bout. Aucune construction située dans l'emprise ne sera épargnée », a souligné l'un des responsables de l'opération.

 

Ignace FANOU, juil/2002

Quotidien LE MATIN  Cotonou - E-mail :lematinonline@moncourrier.com

 

 

4 – Il faut de la patience et du courage

Je suis heureuse d’avoir connu Jésus-Christ. Je l’ai connu dans les tribulations. Aujourd’hui je le remercie pour tout ce qu’il a fait dans ma vie.

Nous étions vraiment persécutés dans notre pays, mon mari et moi. Nous avions cherché en vain notre délivrance en dehors de l’Eglise. On nous avait alors indiqué l’Eglise du Christianisme Céleste au Cameroun. On s’était alors décidé suite à un message d’aller en France. Même avant notre départ, mon mari avait fait un accident mortel.

En France, un frère nous a fait connaître la Paroisse Autel de Vie. Au cours de notre premier culte, j’avais reçu une révélation… Tout ce que Dieu avait dit à travers les prophètes s’accomplit dans notre vie.

J’aimerais dire aux frères et sœurs en Christ que Dieu n’est pas un marabout. Quand on l’aime de son cœur en lui obéissant, il finit par mettre la paix dans votre vie. Il faut de la patience et du courage, car les enfants de la rébellion vont vouloir vous détourner de Dieu. Je suis heureuse d’avoir connu cette Eglise. Que la paix de Dieu soit avec vous tous.

 

Sr. Julienne TOUKOUM (Région parisienne, en 1993)

 

 

5 – C’est pour parler aux jeunes

Si j’écris, c’est pour parler aux jeunes qui disent qu’ils ont le temps et qui pensent que profiter de leur jeunesse est primordial.

Moi personnellement, je pense que Dieu a dit dans Eccl.12 de profiter de sa jeunesse, mais que l’on sera en jugement pour toutes nos œuvres lorsque le jour du Seigneur viendra et qu’il leur dira « qu’avez-vous fait pour moi ? » ils répondront «  Seigneur, nous attendions ton appel pour commencer et nous avons jusqu’à présent profité de notre jeunesse dans les œuvres de la chair. »

Que fera Dieu pour vous vous ?

Je ne dis pas de venir 24h/24h ou 7j/7. Mais il faut aimer Dieu et le louer ; car s’il nous permet d’étudier, de vivre, de boire et de manger à notre faim, c’est sa volonté et non la logique du monde.

Pourquoi faire encore les choses insensées du monde, vous chrétiens célestes ?

Il existe plusieurs façons de se divertir plus sagement tout en plaisant à Dieu. Et surtout ne venez pas pour faire plaisir à vos parents et continuer à mal vous comporter.

Mais venez plutôt pour découvrir Dieu, l’aimer et s’aider les uns les autres sans soupçons ni rancune. Je ne cherche pas à me faire passer pour une sainte, loin de là.

Mon souhait est que chacun puisse bien méditer sur la voie qu‘il a choisie.

 

Sr. Mireille ROISIER

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