CHAPITRE II. 2

 

LES ŒUVRES DU CHRISTIANISME CELESTE.. 2

Le Christianisme Céleste est basé sur la Bible. 2

Tout le monde peut-il lire et comprendre la Bible ?. 2

Le Christianisme Céleste à pour chef Jésus-Christ 3

Le Christianisme Céleste possède le don de guérison. 4

Le Christianisme Céleste baptise. 6

Le Christianisme Céleste célèbre la Sainte Cène. 8

Le Christianisme Céleste célèbre le mariage. 9

Le Christianisme Céleste assure les obsèques de ses membres. 9

 

CHAPITRE II

LES ŒUVRES

 DU CHRISTIANISME CELESTE

 

Le Christianisme Céleste est basé sur la Bible

 

Celui qui ne connaît pas la Bible ne connaît pas Dieu, Certes, il es possible d’être très instruit sans pour autant connaître Dieu. La raison est simple. Si vous ne lisez pas le livre dans lequel Dieu s’est révélé à l’humanité, vous ne pouvez jamais connaître Dieu. En effet, beaucoup de gens connaissent bien les choses mais ignorent la plus importante : la connaissance de Dieu. C’est une ignorance mauvaise et inexcusable. « Le Ciel et la terre passeront » a dit JESUS « mais mes paroles ne passeront point ».

 

« Souvenez-vous que le livre le plus philosophique, le plus populaire, le plus éternel, c’est l’Ecriture Sainte » - Victor Hugo.

 

« Celui qui ne connaît pas la Bible ne connaît pas Jésus. Les Juifs étaient très religieux, ils croyaient connaître Dieu, mais ils ont livré le fils de Dieu à la mort sur la croix. Ils étaient ignorants quant à la Bible, ils n’étaient pas suffisamment instruits dans la connaissance des Ecritures. C’est pour cette raison que Pierre leur adressa cette parole : « Vous avez fait mourir le Prince de la vie que Dieu a ressuscité des morts ; nous en sommes témoins. C’est par la foi en son nom que son nom a raffermi celui que vous voyez et connaissez ; c’est la foi en lui qui a donné à cet homme cette entière guérison en présence de vous tous. Et maintenant, frères, je sais que vous avez agi par ignorance ainsi que vos Chefs.

 

« Repentez-vous donc et convertissez-vous pour que vos péchés soient effacés, afin que des temps de rafraîchissement viennent de la part du Seigneur, et qu’il envoie celui qui vous a été destiné, JESUS-CHRIST que le Ciel doit recevoir jusqu’aux temps du rétablissement de toutes choses dont Dieu a parlé au commencement par la bouche des Saints Prophètes ». (Actes 3 : 15-21).

 

Erasme écrit : « Le but le plus élevé du renouvellement des études philosophiques sera d’apprendre à connaître le simple et pur Christianisme dans la Bible…. Je suis fermement résolu à mourir sur l’étude de l’Ecriture : en elle est ma joie et ma paix ».

 

Celui qui ne connaît pas la Bible ne peut connaître le plan de salut.

 

« L’Evangile de Christ est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit ». (Rom. 1 : 16). Nous ne pouvons pas nous fier à la parole d’un individu ou d’un groupe d’individu ; ils peuvent être dans l’erreur. La seule façon de savoir que nous ne sommes pas aveugles et que nous ne suivons pas des guides aveugles, c’est de faire comme les Béréens qui examinaient chaque jour les Ecritures, pour voir si ce qu’on leur disait était exact (Actes 17 : 11). Personne ne peut le faire à notre place, c’est une question de responsabilité individuelle.

 

« La Bible fait bondir la tête et le cœur…. C’est le livre des grandes revendications sociales, des prophètes annonçant l’égalité fraternelle des hommes…, le désarmement des loups apaisés » - Jean Jaurès.

 

La Bible est donc le livre universel, le livre inépuisable, le livre de vie. Elle est la source de la lumière spirituelle. « Ta Parole est une lampe à mes pieds et une lumière sur mon sentier » a dit le Psalmiste (Ps 119 : 105).

 

La Bible est le fondement de la foi. Si nous n’écoutons pas la Bible, nous ne pouvons avoir la foi.

 

« Ainsi, la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole de Christ » (Rom. 10 : 17).

 

La Bible est la base de notre espérance. « Car c’est en espérant que nous sommes sauvés. Or l’espérance qu’on voit n’est plus espérance : ce qu’on voit, peut-on l’espérer encore ? Mais si nous espérons ce que nous en voyons pas, nous l’attendons avec persévérance » (Rom. 8 : 24-25).

 

La Bible nous jugera. La seule façon de nous préparer pour le jugement de Dieu c’est d’étudier la Bible. Elle nous apprendra la volonté de Dieu en ce qui nous concerne et en ce qui le concerne.

 

Jésus a dit : « Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira » (Jean 8 : 32).

 

« La Bible contient l’Alpha et l’Oméga, le principe et la fin, elle porte la parole de Dieu qui ne passe point » - Roland de Vaux.

 

Aussi, le Christianisme Céleste fait-elle sienne la prédication de la parole de Dieu par la Bible  et dans la Bible et invite-t-elle tout le monde à s’approcher du Dieu vivant par la connaissance de la Bible. Le meilleur façon de vérifier la valeur et la vérité de la Bible, est tout simplement de la lire, sans préjugé, le cœur ouvert.

 

Tout le monde peut-il lire et comprendre la Bible ?

 

Assurément ! C’est d’ailleurs le livre le plus simple. On dit à juste raison qu’il est sublimement simple et simplement sublime. Point n’est besoin d’être docteur en Théologie. La Bible est un livre d’une littérature simple et claire où Dieu  s’est révélé à nous. Or les choses révélées sont à nous et à nos enfant à perpétuité à dit l’Eternel (Deut. 29 : 29).

 

Puisque les choses révélées sont à nous, pourquoi donc ne devons nous pas nous en approprier ? On entend souvent dire : « La Bible est compliquée, chaque verset comporte un double sens ; il n’est pas permis à tout le monde de l’interpréter ».

 

De quel double sens et de quelle interprétation s’agit-il ? Il n’y en a pas à notre connaissance.

 

Prenons par exemple, un passage biblique et voyons si tout le monde ne peut pas le comprendre.

 

Dans Exode chapitre trois, versets un et deux, nous lisons : « Moïse faisait paître le troupeau de Jéthro son beau-père, Sacrificateur de Madian ; et il mena le troupeau derrière le désert et vient à la montagne de Dieu, à Horeb. L’Ange de l’Eternel lui apparut dans une flamme de feu et le buisson ne se consumait point ».

 

Y a-t-il  quelque chose de plus clair et de plus simple ? Voyons encore un autre passage dans l’Evangile de Marc, chapitre 12, versets 18 à 25. « Les Sadducéens, qui disent qu’il n’y a point de résurrection, virent auprès de Jésus, et lui firent cette question : Maître, voici ce que Moïse nous a prescrit : « Si le frère de quelqu’un meurt, et laisse une femme, sans avoir d’enfants, son frère épousera sa veuve, et suscitera une postérité à son frère. Or, il y avait sept frères. Le premier se maria, et mourut sans laisser de postérité. Il en fût de même du troisième. Et aucun des sept ne laissa de postérité. Après eux tous, la femme aussi. A la résurrection, duquel d’entre eux sera-t-elle la femme ? Car les sept l’ont eue pour femme ».

 

Jésus leur répondit : « N’êtes-vous pas dans l’erreur parce que vous ne comprenez ni les Ecritures, ni la puissance de Dieu ? Car, à la résurrection des morts, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme des anges dans les cieux ».

 

Nous pensons que c’est clair et il faut comprendre comme tel. Il s’agit là des hommes qui ne prendront plus de femmes, ni les femmes de maris après la résurrection car ils seront comme des Anges. Mais si nous nous mettons à interpréter les Ecritures à notre façon, à sonder les choses secrètes ou à parler où la Bible reste silencieuse, par exemple, à trouver que le buisson ardent était d’arbustes et de ronces, ou que les anges sont de même sexe ou sans sexe, alors nous nous mettrons à prêcher notre opinion et non la Bible. Or Paul recommandait à Timothée : Prêche la parole, insiste en toute occasion, favorable ou non, reprends, censure, exhorte, avec toute douceur et ne instruisant !

 

« Car il viendra un temps où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine ; mais ayant la démangeaison d’entendre des choses agréable, ils se donneront une foule de docteurs selon leurs propres désirs, détourneront l’oreille de la vérité et se tourneront vers les fables. Mais toi, sois sobre en toutes choses, supporte les souffrances, fais l’œuvre d’un évangéliste, remplis bien ton ministère » (II Timothée 4 : 2-5).

 

Il n’y a pas question d’accommodation ni de re-ajustage. C’est même défendu. « Je déclare à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre : si quelqu’un y ajoute quelque chose. Dieu le frappera des fléaux décrits dans ce livre ; et si quelqu’un retranche quelque chose des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part de l’arbre de la vie et de la Ville Sainte, décrits dans ce livre » (Apocalypse 22 : 18-22).

 

L’apôtre Jean déclare en substance « quiconque va plus loin et ne demeure pas dans la doctrine de Christ n’a point Dieu ! Celui qui demeure dans cette doctrine a le Père et le Fils » (II Jean 9).

 

Et maintenant, pouvons-nous comprendre la Bible de la même manière ? Certainement, si nous abandonnons le re-accommodage, si nous n’essayons pas de faire des hypothèses. Oui, chers frères, nous la comprendrons et elle nous comprendra. « C’est le livre qui a séché le plus de larmes, éclairé le plus de conscience, apaisé le plus de remords, régénéré le plus de caractère » - Charles Sécrétan, Philosophe Suisse.

 

Le Christianisme Céleste a pour chef Jésus-Christ

 

C’est pourquoi nous prêchons le Christ ressuscité. Tous les êtres humains sont imparfaits et rien de ce qui est humain n’est parfait. Lorsque nous essayons d’adorer selon les principes humains notre culte est vain. « C’est en vain qu’ils m’honorent en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes » (Mat. 15 : 9).

 

Jacques Lefèvre d’Estaphes s’écriait un jour : « le temps viendra bientôt où Christ sera prêché purement et sans mélange de traditions humaines : O Evangile ! Fontaine de l’eau qui jaillit en vie éternelle, quand règneras-tu dans toute ta pureté ? Quand Christ sera-t-il tout en tous ?

 

L’Eglise du Christ, gouvernée par le Christ, conduite par le Saint Esprit est bâtie sur un fondement parfait et solide.

 

Ne pensez-vous pas que Dieu ait effectivement donné au gouvernement de son Eglise tous les éléments nécessaires et suffisants ? « Et Dieu a établi dans l’Eglise premièrement des Apôtres, secondement des Prophètes, troisièmement des Docteurs, ensuite ceux qui ont le don des miracles, puis ceux qui ont les dons de guérir, de secourir, de gouverner, de parler diverses langues » (I Corinthiens 12 : 28).

 

 

Aussi le Christianisme Céleste marche-t-il dans la voie des prophéties.

 

Certains s’étonnent qu’on parle encore de Prophéties ou de visionnaires en plein 20ème siècle. D’aucuns prétendent que c’est du spiritisme ou de la magie. Les plus extravagants parlent de fétichisme ou de mysticisme.

 

Or, c’est tout simplement la manifestation du Saint Esprit au milieu de l’Eglise du Christ. La prophétie est un des dons du Saint Esprit distribué selon sa volonté. N’est pas prophète qui veut !

 

Voyons à la lumière des Ecritures si ce don est resté seulement au stade de la Pentecôte comme certains l’estiment ou s’il est inhérent à la vie de toute Eglise se réclamant sincèrement du Christ.

 

Dans la lettre de Saint-Paul aux Corinthiens chapitre 12, verset 7 à 11, donc bien après la Pentecôte, nous lisons :

 

« Or, à chacun la manifestation de l’Esprit est donnée pour l’utilité commune, en effet, à l’un est donné par l’Esprit une parole de sagesse, à un autre une parole de connaissance selon le même Esprit ; A un autre la foi par le même Esprit, à un autre, le don des guérisons par le même Esprit, à un autre le don d’opérer de miracles, à un autre, la prophétie, à un autre le discernement des esprits ; à un autre, la diversité des langues ; à un autre l’interprétation des langues ; un seul et même Esprit opère toutes ces choses, les distribuant à chacun en particulier comme il veut ».

 

Le même Paul écrit ailleurs : « Recherchez la charité ; aspirez aussi aux dons spirituels, mais surtout à celui de prophétie. Celui qui prophétise parle aux hommes, les édifie, les exhorte, les console. Celui qui parle en langue s’édifie lui-même, celui qui prophétise édifie l’Eglise » (Cor. 14 : 1-4). Encore plus loin, il écrit : « Par conséquent, les langues sont un signe, non pour les croyants, mais pour les non-croyants ; la prophétie au contraire, est un signe, non pour les non-croyants, mais pour les croyants. Si donc dans une assemblée de l’Eglise entière, tous parlent en langues, et qu’ils surviennes des hommes du peuple ou des non-croyants, ne diront-ils pas que vous êtes fous ? Mais si tous prophétisent et qu’il survienne quelque non-croyant ou un homme du peuple, il est convaincu par tous, il est jugé par tous, les secrets de son cœur sont dévoilés, de telle sorte que, tombant sur sa face, il adorera Dieu et publiera que Dieu est réellement au milieu de vous » (I Cor. 14 : 22-25).

 

De même dans Ephésiens chapitre 4 verset 10 à 15, Paul écrit ; « Celui qui est descendu, c’est le même qui est monté au-dessus de tous les cieux, afin de remplir toutes choses. Et il a donné les uns comme Apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme évangélistes, les autres comme Pasteurs et docteurs, pour le perfectionnement des saints en vue de l’œuvre du ministère et de l’édification du corps de Christ, jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus à l’unité de la foi de la connaissance du fils de Dieu, à l’Etat d’homme fait à la mesure de la Stature parfaite de Christ, afin que nous en soyons plus des enfants, flottants et emportés à tout vent de doctrine par la tromperie de hommes, par leurs ruses dans les moyens de séduction, mais que, professant la vérité dans la charité, nous croissions à tous égards en celui qui est le Chef, Christ ».

 

Ceci se passe de commentaire car les lettres parlent d’elles-mêmes. D’ailleurs un écrivain a écrit avec raison : « Le meilleur moyen d’échapper à un danger, c’est de le connaître ».

 

Chers frères, pourquoi restez-vous donc à l’écart pour juger ? Pourquoi donc blasphémer contre le Saint Esprit ? Pourquoi aimeriez-vous consulter les devins, les charlatans, les médiums, lorsque Dieu se laisse consulter ?

 

« Cherchez l’Eternel pendant qu’il se trouve. Invoquez-le tandis qu’il est près. Que le méchant abandonne sa voie et l’homme d’iniquité ses pensées ; qu’il retourne à l’Eternel qui aura pitié de lui, à notre Dieu, qui ne se lasse pas de pardonner » (Esaïe 55 : 6-7).

 

« Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos cœurs » (Héb. 4 : 7).

 

Le Christianisme Céleste possède le don de guérison

 

En effet, l’ordre de Jésus-Christ aux apôtres est formel : « Allez, prêchez et dites : le royaume des cieux est proche ; guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, chassez les démons, vous avec reçu gratuitement, donnez gratuitement » (Mat. 10 : 7-8).

 

Et nous lisons aussi dans Marc, chapitre 16, verset 17 à 18 :

 

« Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents ; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal ; Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris ».

 

Il est donc certain que cet ordre ne se limitait pas seulement aux apôtres, mais à tous ceux qui croiront à l’Evangile du Seigneur.

 

Aussi, selon l’ordre que nous avons reçu au cours de notre vision, nous aussi nous prêchons la parole et nous guérissons les malades au nom de Jésus-Christ en leur imposant les mains.

 

Certes, nous ne nous glorifions pas d’être des guérisseurs divins. Loin de nous cette idée, mais nous guérissons au nom de JESUS-CHRIST. Et c’est d’ailleurs un don qui est accordé à tous les anciens de l’Eglise du Christ.

 

Ecoutons Saint-Jacques, y mettre un sceau divin : « Quelqu’un parmi vous est-il dans la souffrance ? Qu’il prie. Quelqu’un est-il dans la joie ? qu’il chante des cantiques. Quelqu’un parmi vous est-il malade ? qu’il appelle les anciens de l’Eglise, et que les anciens prient pour lui, en l’oignant d’huile au nom du Seigneur : la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera ; et s’il a commis des péchés il lui sera pardonné » (Jacques 5 : 13-15).

 

Y a-t-il guérison ? Ecoutons quelques extraits de l’allocution prononcée le 7 juin 1970 devant plusieurs invités de marque et de nombreux frères en Christ venus de tous les bords par le Sénior Leader S. OLUBI lors d’une fête anniversaire de notre paroisse d’Akpakpa-centre à Cotonou. « Nombreux sont ceux qui s’interrogent » et s’interrogeront longtemps sur notre Congrégation qui a dépassé le stade de secte pour devenir une vraie religion.

 

« Pour certains, notre religion est l’agrégat d’anarchistes en mal de miracles ; pour d’autres, c’est le Club de magiciens, de sorciers, d’ensorceleurs et d’illuminés passé maîtres en impostures ; les moins méchants parlent de renégats ou d’apostats ».

 

« Nous ne sommes ni renégats, ni apostats, ni illuminés, ni magiciens, ni sorciers, ni imposteurs ; nous avons l’honneur d’être des chrétiens fatigués de recourir à des pratiques extra-chrétiennes pour affronter satan et ses suppôts ». Et le Senior Leader de poursuivre : « Avant notre conversion au Christianisme Céleste, nous étions de ceux-là qui bien que chrétiens pratiquants retournent en cas de difficultés à l’orgie, c’est à dire, soit chez le charlatan, chez le grand marabout ou l’envoûteur du quartier pour nous aider à sortir de nos difficultés. Ces aigrefins qui vivent aux dépens de notre manque de foi en notre créateur, nous imposaient toutes sortes d’humiliations aux pieds de leurs idoles. Or nul ne peut servir deux maîtres à la fois. Nous ne pouvons honnêtement nous réclamer chrétiens et nous prosterner devant les idoles. Cette pratique est formellement condamnée par le Christ ». Puis l’honorable Leader d’ajouter : « Malgré les attaques, les injures, les moqueries et les railleries de toutes sortes (le Christ a passé par les même creuset) nous sommes très fiers d’appartenir au Christianisme Céleste qui a tout changé en nous ».

 

« Fini donc cette peur panique de l’influence satanique ; fini le commerce avec les charlatans, fini le trafic de poulets, de moutons qui engraissent à nos dépens ces imposteurs de charlatans et sorciers. Fini le maraboutage et les amulettes ».

 

« Tout ce que nous demandons, c’est le droit à l’existence ainsi que la liberté de nous laisser adorer notre Dieu selon notre conscience. Car nous préférons lui obéir que de rechercher la faveur des hommes ».

 

Tout cela se passe de commentaire.

 

Oui, il y a guérison et nous nous glorifions de Jésus qui l’accorde sans acception de personne. Cependant, le Christianisme Céleste ne se substitue pas aux hôpitaux et nous n’empêchons pas les malades d’aller consulter les médecins dont nous reconnaissons l’efficacité. Néanmoins, nous accomplissions aussi notre mission et ne pouvons refuser aux nécessiteux le bénéfice d’un don gratuitement reçu de Dieu.

 

Nous avons reçu gratuitement, et nous le donnons gratuitement. Nous vous invitons tous donc : « Vous tous qui avez soif, venez au eaux, même celui qui n’a pas d’argent, venez, achetez et mangez, venez achetez du vin et du lait, sans argent, sans rien payer. Oui, vous sortirez avec joie, et vous serez conduits en paix : les montagnes et les collines éclateront d’allégresse devant vous, et tous les arbres de la campagne battront des mains » (Esaïe 55 : 1 et 12).

 

Le Christianisme Céleste baptise

 

En effet, pour entrer dans cette Eglise, il existe une loi parfaite. Le Chef de l’Eglise dit : « Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, celui qui ne croira pas sera condamné » (Marc 16 : 16).

 

Jésus dit encore : « Allez, faîtes de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit ». (Mathieu 28 : 18).

 

Comment procédons-nous à ce baptême si formellement ordonné par Jésus-Christ? Est-ce par aspersion ou par immersion ? Il nous suffira de mettre en évidence les exigences bibliques pour le baptême afin de voir clairement comment le pratiquer.

 

*   Le baptême biblique exige l’eau: «Alors Pierre dit : Peut-on refuser l’eau de baptême à ceux qui ont reçu le Saint Esprit aussi bien que nous? (Actes 10 : 47).

 

*   Le baptême biblique exige beaucoup d’eau : « Jean aussi baptisait à Enon, près de Salim, parce qu’il y avait là beaucoup d’eau, et on y venait pour être baptisé » (Jean 3 : 33).

 

*   Le baptême biblique exige une descente dans l’eau : « Il fit arrêter le char ; Philippe et l’Eunuque descendirent tous deux dans l’eau et Philippe baptisa l’Eunuque » (actes 8 : 38).

 

*   Le baptême biblique exige une sortie de l’eau : «Dès que Jésus eut été baptisé, il sortit de l’eau. Et voici, les cieux s’ouvrirent et il vit l’Esprit de Dieu descendre comme une Colombe et venir sur lui » (Math. 3 : 16).

 

« Quand ils furent sortis de l’eau, l’Esprit du Seigneur enleva Philippe, et l’Eunuque ne le vit plus » (Actes 8: 39).

 

*   Le baptême biblique exige un ensevelissement.

 

« Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Jésus Christ, c’est en sa mort que nous avons été baptisés ! Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père de même nous aussi nous marchions en nouveauté de vie » (Rom. 6 : 3-4).

 

*   Le baptême biblique exige une résurrection. « En effet, si nous sommes devenus une même plante avec lui par la conformité à sa mort, nous le seront aussi par la confirmé à sa résurrection. Sachant que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché fut détruit, pour que nous ne soyons plus esclaves du péché » (Rom. 6 : 5-6).

 

« Ayant été ensevelis avec lui par le baptême, vous êtes aussi ressuscités en lui et avec lui, par la foi en la puissance de Dieu, qui l’a ressuscité des morts » (Colossiens 2 : 12).

 

L’ASPERSION NE S’ACCORDE DONC PAS AVEC L’IMAGE BIBLIQUE DU BAPTEME, C’EST POURQUOI NOUS FAISONS LE BAPTEME PAR IMMERSION. Nous baptisions donc nos fidèles dans l’eau, en les immergeant dans l’eau et en les émergeant de l’eau. Ils sont ainsi ensevelis avec Christ par le baptême et ressuscités avec lui par la foi en la puissance de Dieu qui a ressuscité Christ des morts.

 

Si vous désirez recevoir la rémission de vos péchés, être lavé de vos péchés, revêtir le Christ, être sauvé, il vous faut comme un croyant pénitent être enseveli avec Christ dans les eaux du baptême.

 

Chers frères, permettez-nous de vous encourager : « Et maintenant que tardes-tu ? Lève-toi, sois baptisé et lavé de tes péchés, en invoquant le nom du Seigneur » (Actes 22 : 16).

 

Mais ne vous y trompez pas. Avant de recevoir le baptême, il faut accepter Christ. En effet, celui qui se convertit fait une confession de foi très pure et très simple. Cette confession est identique à celle-ci (Actes 8 : 37) : « Philippe dit : si tu crois de tout ton cœur, cela est possible. L’Eunuque répondit : Je crois que JESUS-CHRIST est le fils de Dieu. Il est évident que sans la foi en Christ, le baptême au nom de Jésus n’au aucune valeur ».

 

Et si vous acceptez Christ, il faut faire table rase du passé. Il vous faut vous dépouillez de votre ancienne vie afin de surgir de l’eau comme par une résurrection avec le Christ en nouveauté de vie.

 

Aussi, enseignons-nous la sainteté chrétienne : « Que toute amertume, toute animosité, toute colère, toute clameur, toute calomnie et toute espèce de méchanceté disparaissent du milieu de vous. Soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant réciproquement, comme Dieu vous a pardonnés en Christ » (Ephésiens 4 : 31-32).

 

Nous demandons à ceux qui en possèdent de jeter leurs gris-gris ou idoles. « Car, sachez-le bien, aucun impudique, ou impur, ou cupide, c’est-à-dire idolâtre, n’a d’héritage dans le royaume de Christ et de Dieu » (Ephésiens 5 : 5).

 

« Autrefois vous étiez ténèbres, et maintenant vous êtes lumières dans le Seigneur. Marchez comme des enfants de lumières ! Car le fruit de la lumière consiste en toute sorte de bonté, de justice et de vérité ».

 

« Examinez ce qui est agréable au Seigneur ; et ne prenez point part aux œuvres infructueuses des ténèbres ; mais plutôt condamnez-les. Car il est honteux de dire ce qu’ils font en secret ; mais tout ce qui est condamné est manifesté par la lumière, car tout ce qui est manifesté est lumière » (Ephésiens 5 : 8-13).

 

Nous demandons à nos fidèles de s’abstenir des boissons enivrantes et du tabac.

 

« C’est pourquoi ne soyez pas inconsidérés, mais comprenez quelle est la volonté du Seigneur ».

 

« Ne vous enivrez pas de vin : c’est de la débauche. Soyez au contraire, remplis de l’Esprit » (Ephésiens 5 : 17-18).

 

« C’est assez, en effet, d’avoir dans le temps passé accompli la volonté des païens, en marchant dans la dissolution, les convoitises, l’ivrognerie, les excès du manger et du boire, et les idolâtries criminelles » (I Pierre 4 : 3).

 

Voici, frères, les jours sont très difficiles, c’est un temps où il faut mettre plus que jamais notre confiance et notre espoir en Dieu, sous peine de sombrer dans le désespoir et l’abattement du monde sans Dieu.

 

Que faire ? C’est la question que posèrent, angoissés, à Pierre, le jour de la Pentecôte, les hommes venus de toutes nations à Jérusalem : « Que faut-il que nous fassions ? ». « Repentez-vous », leur ordonna-t-il « et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés et vous recevrez le don du Saint Esprit car la promesse est pour vous, pour vos enfants et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera » (Actes 2 : 37-39).

 

Certes, il est difficile de s’éloigner de sa première éducation religieuse, même si cette éducation est erronée. Mais quand on a vu et compris son erreur, il faut changer aussitôt. Nous devons abandonner l’erreur dès que nous la constatons. En effet, Paul, le grand Prédicateur du monde nous avait demandé d’être son imitateur. « Soyez tous mes imitateurs, frères, et portez les regards sur ceux qui marchent selon le modèle que vous avez en nous » (Phil. 3 : 17).

 

« Soyez mes imitateurs, comme je le suis moi-même de Christ » (Cor. 11 : 1).

 

Evidemment Paul excellait de zèle pour le judaïsme. « Pour moi disait-il, j’avais cru devoir agir vigoureusement contre le nom de Jésus de Nazareth. C’est ce que j’ai fait à Jérusalem. J’ai jeté en prison plusieurs saints, ayant reçu ce pouvoir des principaux sacrificateurs et, quand on les mettait à mort, je joignais mon suffrage à celui des autres. Je les ai souvent châtiés dans toutes les synagogues, et les forçais à blasphémer. Dans mes excès de fureur contre eux, je les persécutais même jusque dans les villes étrangères » (Actes 26 : 9-11).

 

Mais, quand Paul sut la vérité, il changea aussitôt. Il n’a consulté ni la chair ni le sang. Il n’a point eu d’hésitation. Il se fit baptiser aussitôt. Il abandonna ainsi la religion de ses pères et s’engagea de lui-même dans la religion chrétienne.

 

Il faut vivre en toute bonne conscience devant Dieu. Nous devons être élevés dans la connaissance des Ecritures. « C’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit » (Rom. 1 : 16).

 

Le Christianisme Céleste célèbre la Sainte Cène

 

Pour qu’un culte soit agréable à Dieu, deux éléments sont essentiels. Jésus lui-même les expose dans Jean chapitre 4, verset 24. « Dieu est Esprit ; et il faut que ceux qui l’adorent, l’adorent en esprit et en vérité ».

 

Aussi, c’est dans une communauté de cœur, unis dans un même esprit et dans un même sentiment que nous adorons le Seigneur.

 

Pour être plus simples et nous rapprocher de l’état que nous espérons, avant d’entrer dans la maison de Dieu, nous mettons une robe de prière. Elle est en toile blanche.

 

« Après cela je regardai, et voici, il y avait une grande foule, que personne ne pouvait compter, de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, et de toute langue. Ils se tenaient devant le trône et devant l’agneau revêtus de robes blanches, et des palmes dans leur mains » (Apoc. 7 : 9).

 

*   Outre la robe de prière, les femmes portent une coiffe de la même toile. « Je veux, cependant, que vous sachiez que Christ est le Chef de tout homme, que l’homme est le chef de la femme, et que Dieu est le Chef de Christ. Tout homme qui pie ou prophétise, la tête couverte, déshonore son Chef. Toute femme au contraire, qui prie ou qui prophétise, la tête non voilée, déshonore son Chef : C’est comme si elle était rasée » (I Cor. 11 : 3-5).

 

*   Egalement, avant d’entrer dans la maison de l’Eternel, nous enlevons nos chaussures.

 

« Dieu dit à Moïse : n’approche pas d’ici, ôte tes souliers de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est une terre sainte » (Exode 3 : 5).

 

Notre culte d’adoration consiste à prier, à lire des Psaumes, et à chanter des cantiques spirituels.

 

« Entretenez-vous par des Psaumes, par des hymnes et par des cantiques spirituels, chantant et célébrant de tout votre cœur les louanges du Seigneur. Rendez continuellement grâces pour toutes choses à Dieu le Père, au nom de notre Seigneur JESUS-CHRIST, vous soumettant les uns aux autres dans la crainte de Christ » (Ephésiens 5 : 19-20).

 

*   Ensuite, nous prêchons la parole de Dieu dans la Bible. « Que la parole de Christ habite parmi vous abondamment ; instruisez-vous et exhortez-vous les uns les autres en toute sagesse par des Psaumes, par des hymnes, par des cantiques spirituels, chantant à Dieu dans vos cœurs sous l’inspiration de la grâce. Et quoique vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant par lui des actions de grâces à Dieu le Père ».

 

*   Puis nous rompons le pain.

 

En effet, le repas du Seigneur fait partie intégrante du culte chrétien. Il nous permet d’obéir à notre Seigneur.

 

« Ensuite, il prit du pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit et leur donna, en disant : ceci est mon corps, qui est donné pour vous ; faites ceci en mémoire de moi. Il prit de même la coupe, après le souper et la leur donna, en disant : cette coupe es la nouvelle alliance en mon sang, qui est répandu pou vous » (Luc 22 : 19-20).

 

Nonobstant, la distribution du repas du Seigneur n’est pas laissée à l’avantage de tout le monde. Elle fait l’objet des attributions des Pasteurs et des Evangélistes. Plus tard, elle s’étendra aux Leaders c’est-à-dire les responsables des Assemblées de l’Eglise.

 

*   Enfin nous faisons la quête pour permettre aux chrétiens de donner selon leurs moyens.

 

L’offrande aussi fait partie intégrante du Culte chrétien. En effet, les premiers chrétiens donnaient généreusement.

 

« Pour ce qui concerne la collecte en faveur des saints, agissez vous aussi, comme je l’ai ordonné aux Eglises de la Galatie. Que chacun de vous, le premier jour de la semaine, mette à part chez lui ce qu’il pourra, selon sa prospérité, afin qu’on n’attende pas mon arrivée pour recueillir les dons » (I Cor. 16 : 1-2).

 

« De même que vous excellez en toutes choses, en foi, en paroles, en connaissance, en zèle à tous égards, et dans votre amour pour nous, faites en sorte d’exceller aussi dans cette œuvre de bienfaisance. Je ne dis pas cela pour donner un ordre, mais pour éprouver, par le zèle des autres, la sincérité de votre charité » (II Cor. 8 : 7-8).

 

Ainsi le culte est terminé et nous nous livrons le cas échéant à des réjouissances devant Dieu. Cette réjouissance qui se fait au milieu de chants, de musique et de danse, s’accompagne des dons de remerciements. En effet, certains parmi nous témoignent publiquement des bienfaits du Seigneur à leur égard, qu’il s’agisse de santé recouvrée, de biens matériels acquis ou de dons spirituels obtenus. « Justes, réjouissez-vous en l’Eternel ! La louange sied aux hommes droits. Célébrez – l’Eternel avec la harpe, célébrez-le sur le luth à dix cordes. Chantez-lui un cantique nouveau, faites retentir vos instruments et vos voix » (Ps. 33 : 1-3).

 

Le Christianisme Céleste célèbre le mariage

 

Le mariage(1) est une institution civile et religieuse servant d’organe de paix et de civilisation dans les familles et la nation. Néanmoins, son manquement ne doit pas empêcher les hommes d’adorer Dieu. Car le Bon Dieu ne fait pas acception de personnes.

 

C’est pourquoi, nous acceptons au sein de notre religion monogames et polygames. En effet, nous pensons que le contact avec la vérité évangélique rendra meilleurs aussi bien les uns que les autres. Car prétendre que la fidélité au vœu de mariage est essentielle alors que la plupart des mariés vivent en concubinage notoire avec d’autres femmes nous semble une hypocrisie.

 

Oui, il semble que nous outrageons dangereusement Dieu QUI NE NOUS OBLIGE PAS A FAIRE DEVANT LUI UN VŒU mais qui en tient jalousement compte dès lors que nous-même nous nous engageons délibérément. « Si tu t’abstiens de faire un vœu, tu ne commettras pas un péché. Mais tu observeras et tu accompliras ce qui sortira de tes lèvres, par conséquent les vœux que tu feras VOLONTAIREMNT à l’Eternel ton Dieu et que ta bouche aura prononcée » (Deut. 23 : 22-23).

 

Ce mariage religieux que nous avons institué s’adresse à tous les membres de bonne volonté capables de tenir leur vœu car l’Eternel a dit : « Lorsque un homme ou une femme fera un vœu à l’Eternel ou un serment pour se lier par un engagement, il ne violera point sa parole, il agira selon tout ce qui est sorti de sa bouche » (Nombres 30 : 3).

 

C’est donc pourquoi nous tenons à ce que tout membre du Christianisme Céleste qui, de propos délibéré, optant pour ce sacrement contracte un mariage devant l’Eternel, respecte son engagement sous peine d’être exclus(2).

 

Le Christianisme Céleste assure les obsèques de ses membres.

 

Ceci n’est pas un sacrement mais une solidarité agissante entre les membres d’une même famille. Nonobstant, nous tenons à éclaircir l’opinion publique sur cet état de choses.

 

En effet, certains, et c’est peut-être leur façon de discréditer notre religion, ou leur manière de lutter contre nous, disent que nous abandonnons nos morts ou plutôt que nous ne leur réservons que des obsèques dignes de chiens. Ceux-là ne sont que des persifleurs.

 

Nous affirmons sans crainte d’être démentis, que depuis près de 25 ans que notre religion est née, nous n’avons pas encore connu plus de sept décès dans nos rangs.

 

Ceux-là et assurément leur famille en témoigneront, ont été dignement ensevelis.

 

Néanmoins, nous rappelons aux esprits mal intentionnés que certains malades sont dirigés en extremis dans un état critique et désespéré, vers nos églises dans l’espoir d’une éventuelle guérison miraculeuse. A la mort de ceux-ci qui ne se contentent d’ailleurs pas de nos seules prières et recommandations (ils continuent en cachette à recourir aux choses occultes de leur croyance) nous ne nous occupons pas, cela va sans dire, de leurs obsèques pour la simple raison qu’ils n’appartiennent pas à notre religion, et leurs corps, le cas échéant, sont remis à leur famille.

 

Il importe de rappeler en l’occurrence que ce n’est pas nous qui guérissons mais Dieu au non de son fils Jésus-Christ par notre intermédiaire. Et Dieu est libre de guérir qui il veut !

 

Nous pensons avoir expliqué avec force détails sans chercher à paraphraser la Bible mais en nous appuyant sur les textes authentiques, tout le fondement de notre ministère.

 

« L’obéissance vaut mieux que les sacrifices, et l’observation de sa parole vaut mieux que la graisse des béliers » à dit Samuel au roi Saül.

 

Tel est le lot que nous avons reçu de par l’Eternel pour faire progresser le Christianisme Céleste dans le monde, à commencer par nos frères africains.

 

Réussirons-nous ? L’avenir le prouvera.

 

« Nous t’avons fait connaître, O homme ce qui est bien et ce que l’Eternel demande de toi, c’est que tu pratiques la justice, que tu aimes la miséricorde, et que tu marches humblement avec ton Dieu » (Michée 6 : 8).

 

C’est aussi un cri de ralliement que vous avez entendu, un appel pressant pour le nom de Christ, pour l’autorité de Christ, pour la pureté de Christ, et de son Eglise.

 

Cher lecteur, si tu n’es pas chrétien, essaie, efforce-toi de le devenir : aie foi en Jésus-Christ, parie que Christ existe !

 

Accepte et reçois le baptême en Christ pour la rémission de tes péchés.

 

Si tu es chrétien que Dieu t’aide à le demeurer par ta ferveur et ta fidélité dans l’amour et l’adoration du Christ.

 

 

 

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(1)  Voir dans notre fascicule consacré aux ordres des cultes dans le Christianisme Céleste : « l’Ordre du Culte du Mariage ».

(2)  Voir dans notre Règlement Intérieur : « Les lois sur les délits d’adultère » (Art. 1 à 4).